📰Articles de presse
Arlette Efang dans les médias
La presse nationale et culturelle a consacré plusieurs portraits à Arlette Efang, saluant son talent, son originalité, et son engagement artistique. Retrouvez ici une sélection d’articles parus dans des journaux et magazines de référence, illustrant son parcours, sa vision de la femme africaine et son art enraciné dans la tradition de l’Obom, cette toile unique en écorce d’Aloa.
Ces articles sont autant de témoignages de son influence dans le paysage artistique camerounais.
La peintre aux six yeux
📰 Source : Cameroon Tribune – 24 avril 2003
Résumé :
Dans ce portrait intitulé « Arlette Efang, la peintre aux six yeux », l’artiste est décrite comme une créatrice intuitive, ancrée dans les symboles de la vie et des totems. L’article met en lumière sa maîtrise du réalisme symbolique, ses inspirations puisées dans les scènes de vie et les formes complexes qu’elle déchiffre à travers ses œuvres. L’Obom, toile vivante, est déjà au cœur de sa démarche.
La femme africaine est très présente dans mes œuvres
📰 Source : Magazine Amina – Édition spéciale 2007
Résumé :
Dans cet entretien, Arlette Efang revient sur sa formation autodidacte, son passage dans l’atelier familial, puis son orientation vers la peinture sur écorce. Elle y affirme l’importance de la femme africaine dans son travail, qu’elle érige comme symbole de force, de douceur et de mémoire. L’artiste partage aussi sa vision des nouvelles technologies comme outil de diffusion et de valorisation de l’art africain.
La femme africaine est très présente dans mes œuvres
📰 Source : MULTI SAT TV n°48
Résumé :
Ce reportage publié dans le cadre d’un partenariat entre les magasins TIGRE, le média MULTI SAT TV et le monde de l’art, met en lumière une initiative visant à promouvoir l’art africain contemporain à Yaoundé. Une série d’expositions régulières donne alors l’opportunité à de jeunes talents comme Arlette Efang de présenter leurs œuvres au grand public.
Dans cet article, on découvre une Arlette de 23 ans, déjà très affirmée dans son identité artistique. D’abord attirée par le dessin dès l’enfance, puis formée dans le cercle familial, elle décide rapidement de se consacrer pleinement à la peinture. Passionnée par les paysages africains, les couleurs chaudes et les scènes de vie villageoise, elle affirme déjà :
“J’aime beaucoup l’Afrique et ses couleurs gaies, vivantes.”
Ce témoignage illustre bien la trajectoire ascendante de cette artiste plasticienne, déterminée à offrir une vision vibrante et moderne de son continent. L’article salue également sa participation à des événements jeunesse, son engagement dans les expositions locales, et son ambition de faire rayonner l’art africain bien au-delà des frontières.